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Brouillon de site international d’affiches anarchistes. Nous testons d’abord avec un premier fonds d’archives — celui du CDA antérieur à 1998 — puis (...)
Articles
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Des lendemains qui saignent : Dominique Grange
19 avril — France , Paris, [aaaa ?] date incertaine , Tardi, Jacques (1946-....), art : chanson , barbelés , 2009, Grange, Dominique (1940-....), français , Verney, Jean-Pierretexte
photo (visage de Dominique grange en concert) par Jean-Pierre Verney
dessin (tranchées de 14-18 en feu) par Tardi
Dominique Grange
Des lendemains qui saignent
www.myspace.com/dominiquegrange
[logos :] Un projet soutenu par IMM Institut des métiers de la musique Montréal/Paris — Juste une Trace www.juste-une-trace.com — Adami — SCPP - Casterman
© Jacques Tari. Casterman. D'après photo Jean-Pierre Verney. 2009
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La résignation est un suicide quotidien
18 avril — pacifisme , France , Charlot & The Kid , Paris, [ca aaaa] date approchée , noir , papier blanc , une , texte en défonce , antimilitarisme , 1980, GSI_ (Groupe de solidarité et d'information-insoumission)[ texte ; photo (extraite du film The Kid de Charlie Chaplin) ]
La résignation est un suicide quotidien.
Prenons notre vie en main !
Insoumission totale, civile et militaire !
GSI
Groupe de solidarité et d'information - InsoumissionImp Sp
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Non au nouveau centre fermé, Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !
16 avril — Belgique , prison , CIRA (Lausanne), Bruxelles = Brussels, [ca aaaa] date approchée , trois , rouge , noir , papier blanc , vert , texte en défonce , contrôle social , émigration et immigration , 2010, françaistexte
dessin (oiseau blanc)
Non au nouveau centre fermé
Ni à Steenokkerzeel, ni ailleurs !
La construction d'un nouveau centre fermé a commencé à Steenokkerzeel. Il viendra s'ajouter aux quatre centres fermés déjà existants, à la quarantaine de prisons et aux nombreux centres ouverts gérés par Fedasil et la Croix-Rouge. L'État belge complète ainsi son infrastructure, cherchant du même coup à raffiner le fonctionnement de la machine à expulser.
Sous couvert d'humanité, une immigration de plus en plus choisie est en voie de légalisation, laissant au reste des indésirables le circuit du travail au noir, tout aussi nécessaire au bon fonctionnement de l'économie. Avec ou sans papiers on se fera exploiter par un patron 'belge' ou 'immigré', tandis que les divers nationalismes et religions feront tout pour nous séparer, garantissant ainsi l'avenir radieux de ce monde de merde.
Pourtant, si l'on voit les révoltes qui éclatent depuis des années aussi bien dans les centres fermés que dans les prisons, dans la rue et les aéroports, force est de constater que la machine n'est pas si bien huilée que ça. Face à l'enfermement et à des conditions de vie qui s'apparentent souvent cruellement à celles qu'ils ont fui, de plus en plus d'indésirables prennent le chemin de la révolte.
Ainsi se sont succédées mutineries, évasions, attaques contre la police suite à des contrôles, représailles contre divers collaborateurs : ISS-Cleaning, la STIB ou encore la Banque de la Poste. Qui ne se souvient pas par exemple du beau feu de joie de l'été passé ? Le 127bis était presque entièrement parti en fumée. Et c'est justement là, à Steenokkerzeel, que l'État a choisi de construire son nouveau centre fermé spécialement conçu pour les récalcitrants.
L'Etat entretient un silence pesant autour de la construction de ce nouveau camp de concentration. Et pourtant les constructeurs de cette infamie - Besix, Valens, Michiels H. NV., etc. - y mettent les bouchées doubles. Alors n'attendons pas qu'il soit trop tard.
Sabotons la machine à expulser !
Détruisons toutes les frontières !
disponible en néerlandais
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À Palaiseau comme ailleurs, non aux centre de rétention
16 avril — prison , France , Paris, [ca aaaa] date approchée , deux , rouge , noir , papier blanc , Imprimerie spéciale [Impr. spéc.], émigration et immigration , 2004, Tanneries (Dijon), français , Collectif anti-expulsions (Paris)texte
photo (banderole sur grue de chantier)
À Palaiseau comme ailleurs, non aux centre de rétention
Parce que lutter contre chacun de ces centres, c'est un moyen de mettre en échec les durcissements successifs des lois visant à empêcher la libre circulation et la libre installation…
Parce que c'est un moyen d'agir concrètement contre l'offensive sécuritaire et le développement de l'univers carcéral qui nous menace tous, avec ou sans papiers…
Parce que c'est un moyen de renforcer la lutte pour la régularisation des sans-papiers qui est un aspect de la lutte de tous les exploités…
Parce que c'est un moyen de s'organiser pour rendre effective la liberté de circulation et d'installation…
Parce que tout ça peut commencer eb se mobilisant à Palaiseau… et ailleurs…
Partout en France, de nouveaux centres sont en voie de construction, d'autres sont en cours d'agrandissement sous prétexte de rénovation.
L'augmentation du nombre de places en rétention est nécessaire à l'application de la Loi Sarkozy sur l'immigration.D'ores et déjà, une campagne d'organise pour faire échec à ces constructions et pour la fermeture de tous les centres de rétention.
Depuis janvier 2004, rue E. Zola, à Palaiseau, un centre de rétention est en construction.
Centre de rétention, c'est le nom que l'État donne à ses prisons spéciales pour étrangers. C'est là qu'il enferme les étrangers sans-papiers, sortant ou non de prison, en vue de leur expulsion. Ce projet date de 1996 et a été avalisé par les gouvernements de droite et de gauche successifs. Il est prévu pour enfermer 50 personnes.
Aujourd'hui, la loi Sarkozy a fait passer le temps d'enfermement des sans-papiers en centre de rétention de 12 à 32 jours.
En même temps qu'il veut doubler le nombre des expulsions, l'État précarise encore plus les sans-papiers en les privant entre autres, de l'Aide Médicale d'État.
De plus en plus, dans les centres de rétention, les sans-papiers se révoltent contre cette situation insupportable : grèves de la faim, automutilations, émeutes, évasions se multiplient.
Si le chantier est déjà commencé. Il est loin d'être terminé : il ne tient qu'à nous qu'il ne le soit jamais…
Collectif Anti-Expulsions - 21ter, rue Voltaire, 75011 Paris - rép/fax : 01 53 79 12 21 - caeparis@free.fr - pajol.eu.org/rubrique6.html
imprimerie spéciale
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Contre la société de contrôle, refusons le forum de la cybersécurité
15 avril — France , photocop. , Lille, quadri , contrôle social , technologie , image à changer, 2014, graphiste à retrouver, françaistexte
illustration (sorte de “Big Brother”) par ?
Lille 21 & 22 janvier 2014
Contre la société de contrôle
Refusons le forum de la cybersécurité
Les polices en rêvaient, la technologie l'a fait : la surveillance est totale
Six mois après les “révélations” sur la NSA, policiers, militaires et industriels de l'armement organisent un Forum internationale de la cybersécurité. Même la Stasi n'aurait pas imaginé un tel rassemblement pour exposer ses dernières trouvailles en matière de contrôle des populations : géolocalisation, écoutes, fichage, quand la vie privée n'existe plus, le pouvoir est sans faille.
Face à l'œil inquisiteur de l'État, nous agissons. Nous refusons que les professionnels de la contention sociale se réunissent. Nous refusons leurs guerres économiques et militaires, intérieurs et extérieures ?
Nous voulons vivent libres