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Brouillon de site international d’affiches anarchistes. Nous testons d’abord avec un premier fonds d’archives — celui du CDA antérieur à 1998 — puis (...)
Articles
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Wir werden weiter marschirenwenn alles in Scherben fällt
29 mai — Allemagne , police , fascisme et antifascisme , nationalisme , [s.d.], allemandText
photo (policier du GSG9, devant une croix gammée, avec deux pendus en reflet sur ses lunettes)
Wir werden weiter marschirenwenn alles in Scherben fällt
denn heute gehört uns Deutschland - und morgen die ganze Welt
GSG 9 / GSG 9 BPOL (Grenzschutzgruppe 9 der Bundespolizei)
En français : groupe 9 de protection des frontières de la police fédérale -
¡Viva Zapata !
29 mai — Mexique , France , photocop. , Paris, art : chanson , populations autochtones , libération nationale , [aaaa & post], 1994, Zapata, Emiliano (1879-1919), fronde - lance-pierre , français , Réseau zapatiste parisien, Quilombo Possetexte
photos
dessin (Emiliano Zapata en pied)
¡Viva Zapata !
Au Mexique y'a des opprimés,Qui résistent toute le journéeLa meilleure façon de lutter,c'est encore la leurRamasser les grenades,et les balancer…Vivi ! Viva ! Zapata !À chanter sur l'air de “Ma meilleure façon de marcher”
Solidarité avec la lutte des indiens du Chiapas insurgés depuis le 1er janvier 1995
La critique ou la misère, il n'ya pas de milieu
[logo avec fronde] Réseau zapatiste parisien / Quilombo Posse
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sans titre : manifestant au pavé
29 mai — [s.d.]photo (manifestant, pavé en main, face à un bloc de policiers anti-émeute)
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Appel : 20e anniversaire de l’arrestation des militants d’Action Directe
29 mai — Action directe, prison , terrorisme , France , Ménigon, Nathalie (1957-....), Paris, deux , rouge , noir , papier blanc , lutte armée , Rouillan, Jean-Marc (1952-....), Action directe, anniversaire, commémoration , 2007, Aubron, Joëlle (1959-2006), français , Cipriani, Georges (1950-....)texte
Appel
20e anniversaire de l'arrestation des militants d'Action Directe
[…1 Arrêtés le 26 février 1987, nous avons connu toutes les formes de détention spéciale que ce pays est capable d'infliger en toute impunité, de la torture blanche à l'isolement aménagé, jusqu'à la pseudo-normalisation du régime des centrales de sécurité.
Nos peines incompressibles sont terminées depuis deux ans, mais l'État affirme haut et fort que nous n'avons pas assez payé. Non pas qu'il existe un tarif judiciaire correspondant à « nos crimes » révolutionnaires, laissons cette pensée incongrue aux laudateurs des pouvoirs institutionnels. Du premier au dernier jour de détention, le militant est et demeure un otage. Tels des trophées de guerre, les différents gouvernants nous ont utilisés, nous utilisent et comptent nous utiliser encore pour démontrer leur inflexibilité face à la subversion et mettre en valeur l'unanimité de la condamnation de nos choix politiques. Qu'ils soient de droite ou de gauche mais toujours au service de la bourgeoisie et des monopoles, les gestionnaires propagent l'idée qu'une seule façon de faire de la politique est acceptable : la leur. Celle qu'ils imposent à tous pour le bénéfice de quelques-uns. Celle de la soumission au marché, de l'ordre policier et de la peur des masses. Celle de la vacuité et de la disparition du politique. Toute pratique et tout engagement en dehors des cadres balisés du système sont dénoncés et criminalisés comme autant de menaces terroristes.
L'État nous maintient en prison. Il estime avec raison que nous ne sommes pas brisés.
La pression judiciaire n'est pas parvenue à nous transformer en porte-voix du repentir et ainsi en agents du projet de pacification et de désarmement du mouvement révolutionnaire dans les centres impérialistes. Depuis notre premier jour de prison, c'est son but affiché.
Et durant des années, les « juges » d'instruction ont prolongé l'usage de la torture blanche, convaincus que nous craquerions et que nous nous renierions. Aujourd'hui les mêmes « magistrats » affirment que quelques années supplémentaires entraîneront immanquablement notre reddition. Combien ils sont loin du compte ! Et que peuvent-ils.
Leur plan de criminalisation est et sera un échec autant de temps que nous refuserons de critiquer notre engagement en échange d'un assouplissement de nos conditions de détention ou de quelques années de prison en moins. Nous n'entrerons pas dans le rang des prisonniers sans visage et sans histoire.
Cet État, si prompt à tourner la page de la collaboration avec l'occupant nazi et qui amnistia les parachutistes tortionnaires, le quarteron des putschistes d'Alger, les terroristes de la Cagoule et ceux de l'OAS …, cet État nous rend un bel hommage en nous considérant, encore et malgré les décennies de cachot, comme de redoutables ennemis impossibles à libérer tant le danger que nous représentons « à l'air libre » serait grand pour lui et ses sbires !
Concrètement, il a fait de nous des exemples.
Par nos condamnations spectaculaires et notre détention d'exception, il cherchait à frapper l'imaginaire et à créer un impact de terreur chez les militants résolus à bouleverser radicalement l'oppression. Nous devions servir d'exemple dans le « cauchemar des années 80 » alors que la bourgeoisie entreprenait un vaste mouvement de rétablissement des profits par l'intensification de l'exploitation, les délocalisations, les flexibilisations et les privatisations. À la même époque, les troupes françaises s'engageaient dans les coalitions et autres grandes armadas en participant aux campagnes de bombardements, aux guerres préventives, aux blocus et autres embargos au nom de l'ingérence humanitaire. La volonté impérialiste était de transformer en simple protectorat la planète entière et en premier lieu les pays producteurs de matières premières. Lors de cette offensive néoconservatrice, la bourgeoisie était prête à tolérer une opposition légaliste et impuissante mais non une contestation radicale capable de mettre en danger chacune de ses décisions et D'UNIFIER SOUS UN MÊME DRAPEAU ANTI-IMPÉRIALISTE LES PROLÉTAIRES ICI AVEC LEURS FRÈRES AU-DELÀ DES MERS.
L'acharnement de l'État français contre nous quatre ( Nathalie, Georges, Joëlle et Jean Marc ), prisonniers d'Action Directe, n'est déchiffrable qu'a partir de cette lecture historique.
Face à cette exemplarité de la répression durant deux décennies, nous avons dressé une seule bannière, celle de la résistance. Aujourd'hui, il est l'heure de renverser le projet de pacification érigé au cours de nos condamnations. Du fond de nos cachots, nous affirmons qu'il est possible et nécessaire d'utiliser notre résistance comme une arme dans le combat contre l'oppression actuelle. Une arme disponible pour tous les contestataires et les rebelles alors que le pays s'embourbe dans une situation préfasciste.
Les prisonniers de la guérilla d'Action Directe, Georges Cipriani à la Centrale d'Ensisheim, Nathalie - Ménigon au Centre de détention de Bapaume, et Jean Marc Rouillan à la Centrale de Lannemezan, décembre 2006.
Autre poster au dos.
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Fête du combat syndicaliste, 1er-2 février 2003
29 mai — galas et actions de soutien , art : cinéma , étoile (noire …) ★, chat noir , France : histoire : 1871 (La Commune), France , Paris, Montreuil (Montreuil-sous-Bois), syndicalisme : anarchosyndicalisme , Utgé Royo, Serge (1947-....), art : chanson , art : théâtre , art : musique , conférence, débat… , CNT_F (France), impérialisme , texte ou indexation à compléter , 2003, Combat syndicaliste (1947-....), le, Parole errante, La, Brigada Flores Magón, Loach, Kenneth "Ken" (1936-....), Compagnie Jolie Môme, Brixton Cats, Ya Basta, Prévert, Jacques (1900-1977), Alpi, Fred (1962-....), français , Riton la Manivelle, Saunier, Pierre, Nadaud, Martin (1815-1898), Varoqui, Catherine, Malnou, Jacques, Canaille, chorale latexte
logo : chat noir cerclé « CNT »
Fête du combat syndicaliste
Face au Medef, osons lutter, osons vaincre ! Tous à Montreuil le premier week-end de février !!!
Programme
samedi 1er février
★10 h 30★ Ouverture des portes.
★11 h★ Projection : “Les Dockers de Liverpool” de Ken Loach.
★12 h★ Projection : “Don't clean up the blood”. Film sur le contre-sommet de Gênes.
★13 h★ Buffet et musique, avec Riton la Manivelle
★14 h★ Projection du film “Danger-Travail” suivi d'un débat avec intervenants extérieurs.
★16 h★ Débat : Quel syndicalisme aujourd'hui contre la précarité.
★18 h★ Débat : La criminalisation du mouvement social.
★20 h★ Soirée musicale avec Brixton Cats, Ya Basta (ska) et Brigada Flores Magón.dimanche 2 février 2003
★10 h 30★ Ouverture des portes.
★11 h★ Projection de “Martin Nadaud”, un film de Pierre Saunier et de “Gabriel, Sylvain, Amédée et autres migrants de la Creuse”, film de Catherine Varoqui et Jacques Mainou. Projection suivie d'un débat avec le SUB : Quelle évolution du bâtiment et du syndicalisme dans le bâtiment depuis Martin Nadaud ?
★13 h★ Buffet et chorale La Canaille.
★13 h 30★ Débat : impérialisme et Résistances. Avec le secrétariat International de la CNT.
★15 h★ Représentation théâtrale avec la Compagnie Jolie Môme. La Crosse en l'air de Jacques Prévert.
★16 h 30★ Intervention publique de la CNT.
★17 h★ Chanson, avec Serge Utge-Royo.
★18 h★ Fred Alpi (rock).Nombreuses tables de presse. Exposition sur la Commune de Paris, sur le journal Le Combat syndicaliste, etc.
à La Parole errante - 9, rue François Debergue, 93100 Montreuil
(métro Croix de Chavaux, ligne 9) Participation aux frais : 7 euros la journée ou 10 euros pour tout le week-end.